Paru le 01/10/2015 | Broché 274 pages
Rouges, les collines de Caracas
Dans Rouges, les collines de Caracas, Maxime Vivas a choisi de laisser à son héroïne (Gaya) le soin de nous conter elle-même ses (més) aventures dans la « Petite Venise » qui, de 1999 à 2013, a confié son destin à un président adulé ou honni : Hugo Chávez.
Résolument inscrit dans un épisode précis de l'histoire récente du Venezuela, ce livre est à la fois un polar, un « romanquête » et un récit d'aventures, d'espionnage, de violence et de suspense.
Ce que vous allez y découvrir (manipulations, disparitions, assassinats, explosions, actes d'héroïsme, enfumages médiatiques, complots, coups d'État, attentats, émeute, intervention de services secrets, ombre de la CIA, tueurs à gage, poètes et poésies, trahisons, amitiés, idylle internationale...) est le fruit hybride de la fiction et de la réalité. Du « mentir-vrai » couleur sang.
Maxime Vivas, ancien référent littéraire d'Attac, a été postier en centre de tri à Paris avant de devenir ergonome. Il a écrit 17 livres (dont deux, ont été primés) et des nouvelles pour une douzaine de recueils collectifs. Il est traduit en espagnol, allemand, italien, chinois (mandarin et tibétain) et en anglais. Ses éditeurs sont en France, Belgique, Italie, Chine, au Venezuela, à Cuba et aux USA.