Russie-Ukraine, du champ des possibles au mur des réalités : défaite improbable de la Russie, victoire impossible de l'Ukraine : essai

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 229 pages
Poids : 380 g
Dimensions : 16cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-7025-1707-9
EAN : 9782702517079

Russie-Ukraine, du champ des possibles au mur des réalités

défaite improbable de la Russie, victoire impossible de l'Ukraine
essai

de

chez Lavauzelle

Collection(s) : Renseignement, histoire & géopolitique

Paru le | Broché 229 pages

Public motivé

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préface du géénéral Vincent Desportes


Quatrième de couverture

Russie-Ukraine

Du champ des possibles au mur des réalités

Défaite improbable de la Russie
Victoire impossible de l'Ukraine

Cet essai est un condensé d'histoire, de géographie et de géopolitique prospective. Conscient des rapports de force qui prévalent dans les relations entre États et que la guerre, sans perspective politique, ne produit que la guerre, il propose une solution raisonnée du conflit entre la Russie et l'Ukraine.

À partir de l'histoire et la géographie de ces deux pays, de l'Europe et du continent eurasiatique, il a pour objectif de penser la paix, en proposant un nouveau système de sécurité en Europe, de l'Atlantique à l'Oural.

Ignorer les causes et se lamenter des conséquences est le plus sûr chemin vers la catastrophe. C'est exactement ce qui arrive à l'Europe : dépendance énergétique accrue d'États autocrates et de régions potentiellement conflictuelles, inflation, croissance en berne, accroissement de la dette, alors que la Russie, l'agresseur, connaît une croissance économique mécanique due à son isolement relatif, à des alliances de circonstance et à son économie de guerre. Alors, réveillons-nous ! Une solution existe qui fait fi du droit des peuples à disposer d'eux-mêmes, mais qui, finalement, permet aux peuples de survivre dans un rapport de forces qu'ils ne maîtrisent pas.

Biographie

Didier Jean, est titulaire d'un DEA de géopolitique obtenu en 1991 à l'université de Paris VIII sous la direction du professeur Yves Lacoste. Adepte de la realpolitique, il s'exerce, ici, dans un genre qui répond à ce que ressentaient le général de Gaulle et François Mitterrand : « Il n'est de bonne politique qui ne tienne compte des réalités. »