Sale temps pour le GIEC : du prix Nobel aux affaires, grandeur et décadence des experts du climat

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 183 pages
Poids : 248 g
Dimensions : 13cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-8289-1171-3
EAN : 9782828911713

Sale temps pour le GIEC

du prix Nobel aux affaires, grandeur et décadence des experts du climat

de

chez Favre

Collection(s) : Débat public

Paru le | Broché 183 pages

Tout public

13.20 Indisponible

Quatrième de couverture

Sale temps pour le GIEC

Le Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC) est devenu en vingt ans l'une des organisations les plus influentes du monde. Auréolée du prix Nobel de la paix en 2007, cette émanation de l'ONU est parvenue à placer son objectif, la lutte contre le réchauffement, tout en haut de l'agenda politique international. Jusqu'à mobiliser autour de la question, en décembre 2009 à Copenhague, les principaux chefs d'État et de gouvernement de la planète.

Les raisons de cette attention ? Le GIEC annonce un réchauffement climatique aux effets désastreux, où les inondations se mêlent aux sécheresses, la propagation des maladies à la multiplication des catastrophes naturelles. Il en rend responsable l'homme et sa consommation de combustibles fossiles (pétrole, gaz et charbon). Et il demande à l'humanité de limiter de manière draconienne l'usage de ces énergies, quitte à ralentir son développement économique.

Quelle responsabilité ! Il faut être d'une solidité sans faille pour agiter de telles peurs et solliciter de tels sacrifices. Or le GIEC montre des faiblesses : il commet des erreurs, se sert de méthodes inappropriées, utilise du personnel à contre-emploi, peine à traduire la complexité du système climatique et éprouve mille difficultés à se remettre en question.

Sale temps pour le GIEC retrace l'histoire de cette organisation controversée, prise en faute au moment même où elle prétendait dicter sa volonté à la terre entière.

Biographie

Etienne Dubuis  est journaliste au quotidien Le Temps. Il a travaillé pendant une quinzaine d'années dans les rubriques internationales de différents journaux, période au cours de laquelle il a multiplié les reportages à travers le monde et publié un livre sur l'Afghanistan. Depuis quelques années, il s'est spécialisé dans le domaine de l'environnement, ce qui l'a placé aux premières loges pour suivre l'ascension du GIEC et enquêter sur ses vicissitudes.