Si la bergamote m'était contée : le bonbon soleil

Fiche technique

Format : Broché sous jaquette
Nb de pages : 105 pages
Poids : 233 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-36587-183-9
EAN : 9782365871839

Si la bergamote m'était contée

le bonbon soleil

de

chez le Verger des Hespérides

Collection(s) : Aventures à remonter le temps

Paru le | Broché sous jaquette 105 pages

A partir de 9 ans

14.00 Disponible - Expédié sous 5 jours ouvrés
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illustrations Jude Leppo


Quatrième de couverture

Si la bergamote m'était contée

Le bonbon soleil

Hans-Friedrich a deux passions : la confiserie et la jolie Maria. Mais il est pauvre et, avant de pouvoir épouser sa belle, il doit faire fortune.

Avec pour seuls bagages ses rêves et un flacon autorisant trois souhaits, le jeune homme part à la recherche de la bergamote qui parfume si délicatement la peau de Maria. Son idée est d'utiliser cette fragrance pour confectionner des bonbons à la saveur unique. Il ignore que sa quête va le mener dans d'étranges contrées et même lui faire remonter le temps. Il va ainsi se retrouver à la cour des ducs de Lorraine, de Jean à Stanislas en croisant René II et, en Italie, de la Renaissance au XVIIIème siècle.

Cette histoire ô combien savoureuse nous propose un voyage de tous les sens.

Fermez les yeux ! Quel délice ! Pourtant, ce n'est qu'un tout petit carré couleur miel, à la transparence de vitrail, doré à point, c'est le bonbon soleil !

Elise Fischer

Quand j'étais petite, je courais de la Brasserie à l'ancienne fabrique de bébés sur la route de Bouxières-aux-dames.

Quand j'étais petite, j'allais et venais d'un château à l'autre : de celui du Bas où se trouvait mon école à celui du Haut, lieu très sérieux, siège de l'administration de la ville, puisque la mairie y était installée.

Qaund j'étais petite, je rêvais dans le parc des Charmilles où le patronage nous rassemblait. Je rêvais à cette tante de Russie, enfin celle de mon père, que je ferais revivre. C'est sûr, je serais écrivain. La petite grenouille comme m'appelaient cousins et cousines à cause d'une posture gymnique se ferait princesse. Enfin, le temps d'un conte.

Le nez dans les étoiles, je mordillais mon crayon que je perdais parfois et ma mère se moquait en disant que les sotrés avaient dû me le cacher.

Du même auteur : Elise Fischer