Quatrième de
couverture
Dans ce dernier volet d'un triptyque sur l'étal de nos fragilités, une voix s'élève pour traduire une retraite qui s'égare dans les faux-fuyants. Idéaliste et fantasque, elle se nourrit de mirages. Dans sa tour, le coeur muet n'entend que son battement. Le désert de cette solitude se peuple de lui-même en se créant une galerie d'interlocuteurs.