traduit de l'allemand par Dominique Le Buhan, Eryck de Rubercy
Quatrième de
couverture
Les poésies et le journal du comte von Platten (1796-1835), esthète, mais épris du classicisme pour sa rigueur, témoignent d'une vie d'éblouissements désespérés. Son oeuvre lyrique appelle, par ses éclats fiévreux, parfois funèbres, les échos à venir de George, Hofmannthal ou Rilke.