traduit du russe par Frédérique Longueville-Pujol
Quatrième de
couverture
Par la bouche de son héros, Markish nous convie paradoxalement à un traité plein d'humour, de fraîcheur, de fantaisie et de légère gravité sur la vie et la mort. Sous les apparences du cynisme, ce récit est également un hymne à la tolérance universelle, un cri d'amertume serein adressé à tous les hommes, car le fossoyeur réconcilie en dernière instance tous les mortels.