Souvenirs de campagnes du sergent Faucheur : fourrier dans la grande armée

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 367 pages
Poids : 488 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
EAN : 9782847341676

Souvenirs de campagnes du sergent Faucheur

fourrier dans la grande armée

de

chez Tallandier

Collection(s) : Bibliothèque napoléonienne

Paru le | Broché 367 pages

Tout public

25.00 Indisponible

texte présenté par Jacques Jourquin


Quatrième de couverture

«Mon capitaine (...) venait de recommander à nos hommes de ne tirer sur la cavalerie qu'à son commandement, lorsqu'un obus vint lui enlever le derrière de la tête et me couvrit de sang. L'obus, poursuivant son chemin (...), vint tomber dans le carré et enlever un pied au tambour maître. Nous attendîmes la charge sans broncher...»

Leipzig, 1813. Le jeune Narcisse Faucheur a rejoint l'armée impériale l'année précédente. Sergent fourrier chargé du cantonnement des troupes et des approvisionnements, nous le trouvons ici plongé au coeur des combats de la campagne de Prusse.

Mais les Souvenirs de Faucheur sont bien plus qu'un simple récit de batailles. Rarement on a raconté comme lui l'arrivée à la caserne, le bivouac, les marches épuisantes à travers l'Europe et les hôpitaux militaires, mouroirs où le typhus tue plus sûrement que les balles. Rarement on a fait vivre comme lui le quotidien des soldats avec leurs habitudes et leurs expressions, autant d'anecdotes pittoresques qui font le sel de ce document. Rarement, enfin, on a décrit avec tant de justesse le dénuement des soldats démobilisés à la chute de Napoléon.

La paix revenue, Faucheur s'installe à Lille, s'y marie, se lance dans une «carrière commerciale», et c'est le destin d'un industriel textile du Nord qui prend le pas sur la vie militaire...

Biographie

Jacques Jourquin est directeur de la Revue du Souvenir napoléonien et secrétaire général de l'Institut Napoléon. Il a présenté et annoté chez Tallandier le Journal inédit du retour des Cendres du mameluck Ali, les Souvenirs du commandant Parquin et le Journal du capitaine François.