Paru le 15/11/2012 | Broché sous jaquette 129 pages
Public motivé
Saint-Simon disait d'elle qu'il n'y eut "jamais créature plus séduisante", Racine lui écrivit spécialement le prologue de la Piété qui ouvre Esther, Sainte-Beuve voyait en elle un modèle d'urbanité... : rien n'est trop beau pour décrire l'arrière petite-fille d'Agrippa d'Aubigné. L'éducation qu'elle reçut de sa tante, Madame de Mainte-non, n'est peut-être pas sans lien avec la finesse de cet esprit gai et railleur, dont ses Souvenirs, mémoires sur la cour de Louis XIV, préfacés par Voltaire, sont empreints.