Paru le 01/04/2005 | Broché sous jaquette 122 pages
préface Philippe Petit | médiaface René-Antoine Lartigaud | postface Marie-Thérèse Gallien
Les "portables" (téléphones), les collants, les automobiles et ceux qui les conduisent... Rien ne semble pouvoir échapper à son humour, ni à son humeur. Tout est à revoir. Voilà !
Sommes-nous d'accord ? N'y a-t-il pas quelquefois, des choses qui nous agacent ? Certainement.
Mais de les dire, ça ne fait pas "in". On se tait donc, pour avoir l'air...
L'auteur de cette nouvelle, lui, parle. Pour un poisson (il est né en mars), c'est étonnant. Mais c'est un poisson de l'ordre des holocéphales, du grec holos "tout" et képhalé : "tête", qui comme chacun le sait, est plus connu sous le nom de chimère.
Les chimères sont ce qui nous ressemble le plus, écrivait Victor Hugo.
Aussi l'auteur rêve...
Et nous les "branchés" (drôles d'oiseaux) rêvons-nous ? Savons-nous rêver ? Non ? Alors... lisez !
Guy Meunier, nourri d'humour et d'eau de source, il commence très tôt à noter ses émotions en vers ou en prose.
La musique (guitariste de jazz amateur), et la nature l'aident à rester vert. Il consacre également son temps à ses amis de rencontre littéraires dont on reconnaîtra l'influence dans ses textes. Citons pêle-mêle, Michel Audiard, Antoine Blondin, Georges Brassens, Henri Calet, Patrick Clémence, Pierre Dac, André Hardellet, Jacques Prévert, Marcel Unerime, André Vers, Alexandre Vialatte, Boris Vian, et bien d'autres...
