Technicité versus scientificité : tensions et équivoques

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 205 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-1-78405-310-9
EAN : 9781784053109

Technicité versus scientificité

tensions et équivoques

chez Iste éditions

Collection(s) : Sciences, société et nouvelles technologies

Paru le | Broché 205 pages

Professionnels

39.04 Indisponible

Quatrième de couverture

Interdisciplinarité autour du social

La relation entre techniques et sciences est étrangement négligée, évitée ou confiée à des intuitions discrètes, bien que sa clarification soit déterminante, notamment pour toute programmation d'une interdisciplinarité.

Technicité versus scientificité montre que cette relation, sitôt qu'on l'interroge au lieu de la contourner, se révèle omniprésente dans les sciences, extrêmement diversifiée parmi elles et très modulable au cours des phases d'une recherche.

Quatre anthropologues proposent ici des approches très différentes : ils ne prétendent pas épuiser le sujet, mais au moins montrer que ce contournement régulier est lourd de conséquences et qu'un vaste chantier devrait renaître à cet endroit.

Biographie

Giulia Anichini est post-doctorante au Centre interuniversitaire de recherche sur la science et la technologie (CIRST) de Montréal. Son travail porte sur les pratiques cartographiques dans la recherche en neuroscience et en particulier sur l'utilisation d'images IRM dans l'étude du cerveau.

Flavia Carraro est post-doctorante au Research Institute for the History of Technology and Science, Deutsches Museum, à Munich. Ses investigations anthropologiques sont centrées sur l'analyse des codes : algorithmisation et techniques, computation et interprétation.

Philippe Geslin, professeur à l'University of Applied Sciences, en Suisse, concilie l'anthropologie, l'ergonomie et la technologie sur un vaste éventail de recherches appliquées et à partir de terrains très divers.

Georges Guille-Escuret travaille en tant que directeur de recherche au CNRS au sein du Centre Norbert Elias à Marseille. Ses travaux sont tournés en priorité vers les conditions méthodologiques d'une analyse scientifique des interactions socio-écologiques.