Quatrième de
couverture
Ces récits, datant des années trente, traduisent l'obsession de la mort, en l'espèce du suicide, le goût de l'ivresse, l'image du corps-défroque. Impossible narration d'un "je" posthume, l'ensemble des motifs reliant ces pages elliptiques traduit indubitablement l'influence de l'opium.