Théâtre de société du comte de Caylus : comédies jouées au château de Morville, 1738-1740

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 483 pages
Poids : 698 g
Dimensions : 15cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-37496-005-0
EAN : 9782374960050

Théâtre de société du comte de Caylus : comédies jouées au château de Morville, 1738-1740

de

- La maison culbutée
- L'humeur
- Les âges ou La fée du Loreau
- Le prince pot à thé
- La comédie impromptu
- Le confident intéressé

chez EPURE

Collection(s) : Héritages critiques

Paru le | Broché 483 pages

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édition critique établie sous la direction de Dominique Quéro | avec la collaboration de Jean Dagen, Marie-Emmanuelle Plagnol-Diéval, Nathalie Rizzoni


Quatrième de couverture

Dès les années 1730-1740, on assiste en France à un prodigieux essor des spectacles de société, comme en témoigne l'Histoire et recueil des Lazzis, où le comte de Caylus retrace les divertissements auxquels il se livre en 1731-1732 avec sept autres « théâtromanes » parisiens. Ce « gentilhomme universel » (M. Fumaroli) fréquente à cette époque plusieurs cercles d'acteurs amateurs, telle la société du comte de Morville, dont la mort ne met pas fin aux représentations données par sa famille et ses amis, sous la « direction » de Caylus. Lequel, en plus d'être acteur, devient alors le principal pourvoyeur de pièces pour les « saisons » du château de Morville, dans la Beauce, de 1737 à 1741. C'est la contribution de Caylus à ce « Théâtre du château de Morville » que conserve un recueil manuscrit ayant fait partie de la Bibliothèque dramatique Soleinne. Recueil acquis en 1999 par la BnF (département des Arts du spectacle), et dont est issue la présente édition de six pièces de Caylus - dont un ballet pantomime, Le Prince Pot à thé, avec la musique notée (comme pour les divertissements de trois des cinq comédies). Cette « résurrection littéraire » et « spectaculaire » d'inédits de Caylus entend rendre hommage, en ce 250e anniversaire de sa mort, à ce « grand seigneur polygraphe et anticonformiste » (J. Boch).

Du même auteur : Anne-Claude-Philippe de Tubières Caylus