Théo Gerber : science fiction. Theo Gerber : science fiction

Fiche technique

Format : Broché sous jaquette
Nb de pages : 127 pages
Poids : 700 g
Dimensions : 23cm X 31cm
Date de parution :
ISBN : 978-3-03942-126-8
EAN : 9783039421268

Théo Gerber

science fiction

chez Scheidegger & Spiess

Paru le | Broché sous jaquette 127 pages

Tout public

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traduction François Lacire, Mathilde Rosso | préface Helen Hirsch


Quatrième de couverture

Le monde est volonté et imagination.

La réalité n'existe pas.

« Nous nous immergeons dans les mondes de Gerber pour nous perdre et nous retrouver ensuite en des lieux étonnants. » C'est ainsi que le grand écrivain suisse Paul Nizon évoque l'oeuvre du peintre Théo Gerber (1928-1997), originaire de Thoune, esprit libre qui reste aujourd'hui encore méconnu en Suisse. L'artiste lui-même a contribué à cette situation, contrariant les efforts des galeristes désireux de diffuser sa peinture auprès d'un large public. Pour Théo Gerber, le succès ne reposait pas sur la célébrité ni les honneurs, mais sur le fait que « son art indique une autre possibilité que celui de ses contemporains ». D'un monde à l'autre, d'un style à l'autre, cet inconditionnel voyageur, qui partit vivre pendant un certain temps avec un peuple d'Afrique de l'Ouest, les Dogons, pour surmonter ses blocages artistiques, célébrait le primat d'une liberté créative qui rend son oeuvre objectivement inclassable.


Die Welt ist Wille und Vorstellung.

Die Wirklichkeit gibt es nicht.

« Wir tauchen in Gerbers Welten ein, um uns zu verlieren und an erstaunlichen Orten wiederzufinden. » So charakterisiert der grosse Schweizer Schriftsteller Paul Nizon das Werk des Thuner Malers Theo Gerber (1928-1997) - einem Freigeist, der hierzulande nach wie vor ein Unbekannter ist. Dazu trug insbesondere der Künstler selbst bei, der die Bemühungen von Galeristen ablehnte, seine Malerei beim breiten Publikum bekannt zu machen. Erfolg bedeutete für Gerber nicht Ruhm und Ehre, sondern dass « seine Kunst eine andere Möglichkeit aufzeigt als die seiner Zeitgenossen ». Dieses Hochhalten der künstlerischen Freiheit erschwert es, den Stil- und Weltenbummler, der sich in einer Schaffenskrise eine Zeit lang dem westafrikanischen Stamm der Dogon anschloss, einer konkreten Richtung zuzuordnen.