Toulouse vue d'en haut

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 125 pages
Poids : 501 g
Dimensions : 24cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 979-10-7006-308-8
EAN : 9791070063088

Toulouse vue d'en haut

de

chez Cairn

Paru le | Broché 125 pages

Tout public

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textes Serge Nicolo


Quatrième de couverture

Au fil des années et de ses missions avec différents médias, François Reboul a eu à coeur d'orienter l'objectif de ses drones vers les quartiers de la ville rose et d'en chercher des angles nouveaux.

Ses photos inédites sont comme une plongée intime au-dessus des rues, des cours, des toits, des monuments, avec toujours la Garonne en fil conducteur.

« La photographie est un instant de complicité entre la prévoyance et le hasard », disait John Stuart Mill.

Cette citation visionnaire semble s'appliquer à la prise de vues par drone, tant il est difficile de conjuguer la programmation d'un vol, en respectant la réglementation, et les aléas de la météo. Une part de chance est nécessaire pour se trouver dans les airs quand la lumière est idéale mais parfois la magie est là... et le temps s'arrête l'instant d'un clic.

Des textes de Serge Nicolo ponctuent ce parcours, sous forme d'une déambulation de quartier en quartier, d'une époque à l'autre, pour nous raconter une histoire de la ville.

Biographie

François Reboul a grandi à Toulouse.
Après une carrière de réalisateur pour la chaîne TLT, il fonde en 2015 la société Drone Sud Toulouse. Au gré des commandes, publiques ou privées, il a sillonné le ciel d'Occitanie pour en compiler des milliers de photos inédites.
En parallèle, il est chef monteur à France Télévision et collabore aux journaux télévisés de 13h et 20h pour France 2 à Toulouse.

Serge Nicolo est auteur de romans policiers. Du pillage de sable sur les plages du Maroc à la privatisation des barrages hydroélectriques dans les Pyrénées, ses ouvrages abordent souvent des thématiques politiques et écologiques.
Natif du Béarn, il est tombé amoureux de Toulouse en venant faire des études d'histoire à l'université du Mirail, dans les années 1990.
Aujourd'hui, il travaille pour les musées Georges-Labit et Paul-Dupuy.