Paru le 27/05/2013 | Broché 67 pages
Rire de tout est un des rares privilèges qui restent aux esprits libres et Bernard Leconte dans ce pamphlet ou, par certains côtés, cette autobiographie, s'y donne à coeur joie et quelquefois à l'égard de lui-même. Ce faisant, il déboulonne avec humour certaine institution que beaucoup considèrent comme très vénérable et ramène à leur juste niveau des hommes agités qui se croient très puissants. Il y a là des raisonnements incisifs et imparables et des anecdotes savoureuses, allristantes ou rigolotes au choix.
Sur La récrée va finir :
Bernard Leconte non seulement a tracé le portrait du vrai héros de notre temps, qui est le vieillard, mais encore par ce biais original, il a jeté un coup d'oeil perçant sur le monde du XXe siècle finissant.
Jean Dutourd (préface)
Sur Le divorce est une ignominie :
L'auteur manifeste un goût marqué pour les sujets dérangeants et un plaisir quasi sportif à bousculer les idées reçues.
Isabelle Garnier (Le Figaro Madame)
Une verve coupante que la fureur exaspère... un roman si vif et si méchant.
Michèle Bernstein (Libération)
Sur Qui a peur du bon français :
Contre l'ennemi protéiforme de la novlangue. Leconte a une arme imparable : l'humour.
P.L. Moudene (Rivarol)
Bernard Leconte, pour combattre n'a que son équipement de france-tireur, c'est-à-dire son escopette et sa ceinture de cartouches. Il s'agit de ne pas gaspiller sa poudre. Aussi vise-t-il à la perfection
Jean Dutourd (préface)
Sur À la recherche du bon français :
Comment refuserais-je d'en dire tout le bien que j'en pense ? L'auteur est un des bons soldats de notre petite armée de défenseurs de la langue.
Maurice Druon
Sur La France de Sacha Guitry :
Voici un Sacha ragaillardi par quelque 120 pages sans illustrations mais rondement menées dans le style étincelant de quelqu'un qui aime lui aussi la langue française.
Jean-Max Méjeau (Le Nouvel Obs)
Sur Qu'allons-nous faire de grand-mère ? :
Il mêle au récit saisissant de la destruction d'une vie une satire féroce de la société contemporaine.
Florent Georgesco (Le Monde)