Paru le 15/02/2002 | Broché 58 pages
Mais mourir à ce corps à ce mal lancinant qui éperonne le cœur expirer avant le bouche-à-bouche avec le double ailé...
Il n'y a pas de dernier mot la phrase s'interrompt pend dans le vide attend que vienne un souffle
Recueil qui est comme le «cri du manque d'être», à lire en silence : quelqu'un s'achemine en aveugle vers une espérance sans nom, peut-être sans voix, peut-être sans visage.