Un amour de Kazuko : maître de thé

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 268 pages
Poids : 380 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-36682-054-6
EAN : 9782366820546

Un amour de Kazuko

maître de thé

de

chez Gunten

Paru le | Broché 268 pages

20.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Un amour de Kazuko, maître de thé

Dans ce roman, Un amour de Kazuko, maître de thé, Philippe Costa di Costanzo nous invite à parcourir le Japon. On est très vite charmé et prêt à le suivre. On rencontre Fabien avec lequel on se laisse envahir dans une lente montée des impressions, des sentiments et de la passion dès l'apparition de Kazuko, prête à conduire une cérémonie du thé. Plus tard, la terre elle-même tremblera sous leurs pieds...

Un voyage, une ascension initiatique et délicate dont on revient avisé, différent, la tête pleine d'images et d'enseignements mais aussi troublé, dans un profond désarroi car l'amour absolu s'est glissé au coeur de l'Histoire guerrière du pays avec autant de force que de douceur pour se retirer dans une violence inouïe.

La poésie, la sensibilité et la ferveur de ce texte ne peuvent laisser de glace. On y découvre aussi avec émotion les traditions ancestrales et, grâce à la finesse de l'étude psychologique sous-jacente menée par l'auteur, des aspects du Japon moderne insoupçonnés.

« Petit à petit, le charme des lieux, la contemplation des mains, des gestes, de l'attitude tout entière de Kazuko et des objets d'art qu'elle manipulait fit naître en Fabien des sentiments inconnus jusque-là. Il avait maintenant l'impression d'une magie provoquée par l'art et la beauté et qui instaurait une compréhension secrète entre Kazuko et tous les autres invités. Par moments, lui-même se sentait perdre la notion du moi et s'unir à l'esprit de tous. Jamais auparavant il n'avait eu l'occasion de partager avec autrui des émotions esthétiques d'une telle intensité, jamais la notion d'harmonie entre les êtres ne lui était apparue aussi évidente. Il ne put alors s'empêcher de repenser à la parenté de Kazuko avec le tortionnaire de Pingfan et se dit que le sens de l'harmonie entre les humains ne devait être ni inné ni congénital. »