Un Dieu nommé peut-être ou Le génie du judaïsme

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 180 pages
Poids : 263 g
Dimensions : 16cm X 23cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-85652-467-1
EAN : 9782856524671

Un Dieu nommé peut-être ou Le génie du judaïsme

de

chez Dominique Martin Morin

Paru le | Broché 180 pages

Public motivé

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préface de Jacques Trémolet de Villers


Quatrième de couverture

Un Dieu nommé peut-être ou Le génie du judaïsme

Trois découvertes de la science promettent de renouveler en profondeur notre univers mental :

  • La physique quantique dont Bernard d'Espagnat a pu dire qu'elle nous obligerait à « abandonner les grandes certitudes ontologiques sur lesquelles la pensée occidentale s'est construite depuis 2000 ans »
  • Le « théorème d'incomplétude » par lequel Kurt Gödel a assigné une limite à la capacité de l'esprit humain à penser le monde de façon conceptuelle.
  • La théorie de « la pensée sans langage » à travers laquelle Dominique Laplane a révélé l'horizon d'indétermination sur lequel se déploient nos idées.

Par son amplitude, cette mutation ne manquera pas de faire litière du scientisme qui imprègne encore la mentalité du grand nombre. Mais elle pourrait aussi la réconcilier avec les mystères de la religion, et peut-être avec les singulières modalités de lecture et d'interprétation qui caractérisent la Bible et le talmud : c'est-à-dire avec une tradition qui enseigne à faire participer l'inconnaissable à l'élaboration de la connaissance et à convoquer l'impensable dans les opérations de la pensée.

Après « La genèse du féminin » et « L'athéisme va-t-il mourir ? », Alain Monestier s'attache, dans ce troisième ouvrage, à faire entrer son lecteur dans l'univers mental des hommes de la Bible et à décrire leur tour d'esprit ; non pour qu'il y trouve une « méthode » à la manière de Descartes ou une « logique » à la façon Aristote, mais pour qu'il se rende sensible à une singulière démarche de la pensée qu'on pourrait considérer comme le « coup de génie du judaïsme » ; une démarche qui consiste à projeter l'esprit de l'homme au-delà de lui-même, afin de le tourner vers ce « Dieu dont les pensées sont aussi élevées au-dessus de ses pensées que le ciel est élevé au-dessus de la terre ».