Quatrième de
couverture
Jochen Garner s'amuse à mettre en parallèle, en perspective et en abîmes, les fuseaux et les décalages horaires, les temps de transport et de lavomatic, les représentations mentales de la durée, les plateaux-repas, les taxis en retard et les souvenirs qui s'effacent. L'aéroport devient alors le centre d'un monde en mouvement perpétuel, machinerie gigantesque digérant le temps et l'espace.