Quatrième de
couverture
"L'homme se sentirait trop seul, s'il n'y avait pas les poches", disait Silvio d'Arzo. D. Blanchard met en exergue cette phrase qui lui permet de vider ses poches, d'où il extrait aphorismes et réflexions dans une langue prosodique où l'on entend la voix du monde.