Voir, ne pas voir, faut voir : essais sur la perception et la non-oerception des oeuvres

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 247 pages
Poids : 324 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
EAN : 9782877110976

Voir, ne pas voir, faut voir

essais sur la perception et la non-oerception des oeuvres

de

chez J. Chambon

Collection(s) : Rayon art

Paru le | Broché 247 pages

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traduit de l'anglais par Yves Michaud


Quatrième de couverture

Comment New York vola l'idée d'art moderne, publié en France en 1989, a choqué bien des lecteurs en mettant au jour les stratégies de promotion et même de propagande qui ont conduit au triomphe de l'expressionnisme abstrait américain.

Dans une suite d'essais consacrés au marketing de l'expressivité picturale dans l'Amérique des années cinquante, à l'absence de réception de la peinture abstraite française aux Etats-Unis, au conflit autour de la définition de l'art moderne qui agita les milieux artistiques américains dans ces mêmes années, à la difficile reconnaissance américaine de la peinture de Bram Van Velde ou de Tàpies, Serge Guilbaut pour-suit son travail de démystification.

L'art n'est pas quelque chose que l'on reconnaît dès lors qu'il est produit. Il n'échappe pas aux enjeux de pouvoir qui le valorisent, l'imposent ou, au contraire, l'occultent. Ceci ne veut pas dire que les œuvres sont de purs produits de valorisation sociale - mais que leur valeur doit difficilement se faire jour à travers des mécanismes de réception qui ne sont pas innocents.

L'histoire de l'art s'entrecroise ici avec l'esthétique de la réception.

Biographie

Serge Guilbaut, né en France en 1943, enseigne depuis 1980 l'histoire de l'art à l'Université de Colombie Britannique à Vancouver au Canada. Il prépare un ouvrage sur le triangle expressionniste New York, Paris, Montréal dans les années 50.