Paru le 05/01/2005 | Broché 226 pages
Tout public
- Nos ministres? «Personne ne se demande s'ils sont compétents.»
- La gestion de l'État? «N'importe quelle entreprise, n'importe quelle famille qui se conduirait ainsi courrait droit à la faillite.»
- Le non-paiement des jours de grève à l'automne 2003? «C'était la première fois que l'on appliquait les textes.»
- La rentabilité de 15% fixée par certains managers? «Elle est impossible à atteindre.»
- Les stock-options tellement en vogue? «Le système doit être repensé.»
- L'exil des jeunes diplômés à l'étranger? «On n'en parle jamais. Mais dans dix ans il sera trop tard.»
- Les conditions du sursaut? «L'audace, la force de braver la muraille du conformisme ambiant, une muraille de papier.»
- La contrainte européenne? «La Commission ne fait que rappeler aux États ce qu'ils ont eux-mêmes décidé.»
- Un gouvernement doit-il être réservé aux professionnels de l'élection? «La politique ne devrait pas être un métier à vie.»
Francis Mer, l'inattendu ministre des Finances de 2002 à 2004, ancien président du géant de l'acier Arcelor, ne s'embarrasse pas du politiquement correct quand il dialogue avec Sophie Coignard, la coauteur de L'Omertà française.