Collection(s) : Strette
Paru le 29/10/2015 | Broché 141 pages
Voyage sur un fantôme. Rome, le scooter, et ma mère est une géographie du possible, une déclaration d'amour à Rome, une lamentation sur le corps défunt, un hymne à l'invention de soi. On y chemine avec Nanni Moretti, Pier Paolo Pasolini, Jacob Burckhardt, Friedrich Nietzsche. On demande son chemin à quelques situationnistes en mal d'orientation. On y croise Stendhal et Audrey Hepburn. Avant de dialoguer, in fine, avec le chat d'Antonio Gramsci. Parce qu'après tout, en voyage, ce qui importe c'est de se poser les bonnes questions - et de les suivre en attendant de voir où elles nous mènent.
On a pu lire précédemment de Jérôme Orsoni, écrivain, traducteur et musicien, Tortoise/Standards (le mot et le reste, 2008) et Au début et autour, Steve Reich (les éditions chemin de ronde, 2011), deux essais sur la musique, de même qu'un recueil de récits, Des monstres littéraires (Actes Sud, 2015).