Wagner, Nietzsche et le mythe surhumaniste

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : XLIX-322 pages
Poids : 290 g
Dimensions : 13cm X 20cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-493898-50-0
EAN : 9782493898500

Wagner, Nietzsche et le mythe surhumaniste

de

chez La Nouvelle Librairie éditions

Collection(s) : Agora

Paru le | Broché XLIX-322 pages

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traduit de l'italien par Philippe Baillet et Pierluigi Locchi | avant-propos Pierluigi Locchi | préface d'Adriano Scianca | postface par Paolo Isotta | publié par Institut Iliade


Quatrième de couverture

Wagner Nietzsche et le mythe surhumaniste

La musique tonale européenne a façonné un nouveau sentiment du temps de l'histoire, un temps tridimensionnel et non plus linéaire, dans lequel se déploie la plénitude de l'homme et de son devenir. De ce sentiment est née une nouvelle vision du monde, qui a d'abord pris corps avec l'oeuvre artistique de Richard Wagner et, peu après, avec l'oeuvre philosophique de Friedrich Nietzsche. Ainsi est né le « mythe surhumaniste », que Giorgio Locchi met ici brillamment en lumière à partir de la parenté intellectuelle et philosophique qui unit Nietzsche à Wagner. Dévoilant la portée de ce mythe, Giorgio Locchi témoigne d'une pensée radicale et exigeante, héritière de ses deux illustres prédécesseurs, qui nous somme plus que jamais d établir une stratégie pour l'interrègne, cette période de l'attente, destinée à trouver sa conclusion soit dans le triomphe de la tendance égalitaire et dans la « fin de l'histoire », soit dans la « régénération de l'histoire » et dans l'affirmation européenne du surhumanisme.

Biographie

Philosophe, journaliste et essayiste, Giorgio Locchi (1923 - 1992) fut l'une des figures majeures de la Nouvelle Droite. Ayant rédigé de nombreux articles dans les colonnes de Nouvelle École, Éléments, Il Tempo, Intervento et du Secolo d'Italia, Giorgio Locchi est aussi l'auteur d'ouvrages importants comme Définitions - Les textes qui ont révolutionné la culture non conforme, Le mal américain ou L'essence du fascisme. « Sans Giorgio Locchi et son oeuvre, écrira Guillaume Faye, la véritable chaîne de défense de l'identité européenne serait probablement rompue. »