concordan(s)e avec Violaine Schwartz, écrivain, et Cécile Loyer, chorégraphe

vendredi
07
mars
20h00

Autres

Lieu : l'atelier 2 bis rue du jourdain 75020

lecture-performance en avant-première dans le cadre du festival : concordan(s)e est une aventure singulière où un écrivain rencontre un chorégraphe. Selon le principe établi, les deux artistes, qui ne se sont au préalable jamais rencontrés, s’observent, s’interrogent sur ce qui attise leur désir de créer. De cette plongée dans leur intimité créative, une création commune et inédite est présentée où l’écrivain et le chorégraphe dévoilent ce qu’ils ont surpris, compris de ce cheminement, comme un prolongement original à leur propre univers. Le public devient alors témoin de cette expérience qui illustre à chaque fois la complicité qui s’est établie et la place que chacun propose à l’autre. L’intention de ces rencontres est de découvrir, sur un même espace scénique, la pièce du chorégraphe et l’expression de l’écrivain sur cet acte artistique commun.

L’ Hippocampe mais l'hippocampe:

Dans un espace réduit comme l’intérieur d’un cerveau, un cerveau de 6 mètres sur 6, Violaine Schwartz et Cécile Loyer exercent en direct leurs mémoires et s’inventent des règles pour mettre à l’épreuve gestes et mots dans un même souffle, un même tempo : séries de phrases à répéter dans l’ordre, dialogues de gestes en boucle, les informations s’accumulent, les ordres n’arrêtent jamais, chaque jeu en appelle un autre, jusqu’à ce que les corps bégaient et la mémoire sature, sollicités à l’extrême. Surchauffe dans l’hippocampe. C’est alors une accumulation de ratages, d’erreurs, d’inversions de mots, de gestes, de sens, créant du tragique, du loufoque, et de la poésie à la fois.

http://www.concordanse.com/Cecile-Loyer-choregraphe-Violaine-Schwartz-ecrivain

L’ HIPPOCAMPE MAIS L’HIPOCCAMPE

Dans un espace réduit comme l’intérieur d’un cerveau, un cerveau de 6 mètres sur 6, Violaine Schwartz et Cécile Loyer exercent en direct leurs mémoires et s’inventent des règles pour mettre à l’épreuve gestes et mots dans un même souffle, un même tempo : séries de phrases à répéter dans l’ordre, dialogues de gestes en boucle, les informations s’accumulent, les ordres n’arrêtent jamais, chaque jeu en appelle un autre, jusqu’à ce que les corps bégaient et la mémoire sature, sollicités à l’extrême. Surchauffe dans l’hippocampe. C’est alors une accumulation de ratages, d’erreurs, d’inversions de mots, de gestes, de sens, créant du tragique, du loufoque, et de la poésie à la fois.

Et ça recommence. Depuis le début. Mais quel début ? Le début d’hier. Tu te souviens ? Non.

« L’hippocampe a deux P et un C, ou deux C et un P, selon les jours et les humeurs, tantôt Hippo, tantôt Campe, l’hippocampe est un caméléon, il se camoufle dans les prairies sous marines, sous les plis du cortex, l’hippocampe est un animal fabuleux mais l’hippocampe est une machine à souvenirs »

- See more at: http://www.concordanse.com/Cecile-Loyer-choregraphe-Violaine-Schwartz-ecrivain#sthash.LIpvGL8o.dpuf

L’ HIPPOCAMPE MAIS L’HIPOCCAMPE

Dans un espace réduit comme l’intérieur d’un cerveau, un cerveau de 6 mètres sur 6, Violaine Schwartz et Cécile Loyer exercent en direct leurs mémoires et s’inventent des règles pour mettre à l’épreuve gestes et mots dans un même souffle, un même tempo : séries de phrases à répéter dans l’ordre, dialogues de gestes en boucle, les informations s’accumulent, les ordres n’arrêtent jamais, chaque jeu en appelle un autre, jusqu’à ce que les corps bégaient et la mémoire sature, sollicités à l’extrême. Surchauffe dans l’hippocampe. C’est alors une accumulation de ratages, d’erreurs, d’inversions de mots, de gestes, de sens, créant du tragique, du loufoque, et de la poésie à la fois.

Et ça recommence. Depuis le début. Mais quel début ? Le début d’hier. Tu te souviens ? Non.

« L’hippocampe a deux P et un C, ou deux C et un P, selon les jours et les humeurs, tantôt Hippo, tantôt Campe, l’hippocampe est un caméléon, il se camoufle dans les prairies sous marines, sous les plis du cortex, l’hippocampe est un animal fabuleux mais l’hippocampe est une machine à souvenirs »

- See more at: http://www.concordanse.com/Cecile-Loyer-choregraphe-Violaine-Schwartz-ecrivain#sthash.LIpvGL8o.dpuf

L’ HIPPOCAMPE MAIS L’HIPOCCAMPE

Dans un espace réduit comme l’intérieur d’un cerveau, un cerveau de 6 mètres sur 6, Violaine Schwartz et Cécile Loyer exercent en direct leurs mémoires et s’inventent des règles pour mettre à l’épreuve gestes et mots dans un même souffle, un même tempo : séries de phrases à répéter dans l’ordre, dialogues de gestes en boucle, les informations s’accumulent, les ordres n’arrêtent jamais, chaque jeu en appelle un autre, jusqu’à ce que les corps bégaient et la mémoire sature, sollicités à l’extrême. Surchauffe dans l’hippocampe. C’est alors une accumulation de ratages, d’erreurs, d’inversions de mots, de gestes, de sens, créant du tragique, du loufoque, et de la poésie à la fois.

Et ça recommence. Depuis le début. Mais quel début ? Le début d’hier. Tu te souviens ? Non.

« L’hippocampe a deux P et un C, ou deux C et un P, selon les jours et les humeurs, tantôt Hippo, tantôt Campe, l’hippocampe est un caméléon, il se camoufle dans les prairies sous marines, sous les plis du cortex, l’hippocampe est un animal fabuleux mais l’hippocampe est une machine à souvenirs »

- See more at: http://www.concordanse.com/Cecile-Loyer-choregraphe-Violaine-Schwartz-ecrivain#sthash.LIpvGL8o.dpuf