Fiche technique
Format : Broché
Nb de pages : 254 pages
Poids : 312 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-267-04996-1
EAN : 9782267049961
L'homme qui vivait sous terre
version intégrale
Les libraires en parlent
Enfin publié dans son intégralité, accompagné de documents passionnants, L'homme qui vivait sous terre est un roman qui marque, au même titre que L'étranger de Camus ou La métamorphose de Kafka.
Une lecture vivement recommandée.
L'homme qui vivait sous terre n'est pas simplement une histoire, il est l'Histoire. Richard Wright, grand auteur de littérature américaine est connu pour ses textes engagés et sa lutte contre le racisme. C'est toujours bouleversant et révoltant.
A découvrir !
"L'homme qui vivait sous terre" est un grand roman sur les injustices et les violences subies par les afro-américains, à mettre aux côtés de ceux de James Baldwin, Toni Morrison ou encore Colson Whitehead.
Ce roman de l'enfermement et de la culpabilité, écrit en 1942, garde toute sa puissance et son acuité dans une actualité notamment marquée par le mouvement "Black Lives Matter."
Quatrième de couverture
L'homme qui vivait sous terre
Fred Daniels, un jeune homme noir, se fait arrêter par la police à la fin d'une journée de travail, alors qu'il s'apprêtait à retrouver sa femme sur le point d'accoucher. Un double meurtre a été commis dans le voisinage, et la police a besoin d'un coupable : ce sera Fred Daniels. Mais il parvient à s'échapper presque miraculeusement. Une plaque d'égout qui se soulève lui donne envie de s'y glisser. Il découvre la ville par en dessous, grâce à des connexions insoupçonnées entre le système des égouts, les caves et les souterrains de la ville. Il parvient ainsi à survivre, à se nourrir, et même à entendre le chant des églises. Puis, il décide de remonter à la lumière...
La version originelle d'un texte de Richard Wright enfin publiée : L'Homme qui vivait sous terre est connu dans sa forme courte, en tant que nouvelle. Restauré comme roman, dans une langue évocatrice, on découvre un grand livre sur le racisme, aux accents kafkaïens.
Écrit dans les années 1940 - juste avant le succès de Black Boy - ce roman se lit comme une dénonciation de la violence de l'Amérique raciste du milieu du XXe siècle. À l'époque du mouvement Black Lives Matter, il résonne puissamment.