Le grand ordinaire

Fiche technique

Format : Broché sous jaquette
Nb de pages : 310 pages
Poids : 320 g
Dimensions : 15cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-246-78907-9
EAN : 9782246789079

Le grand ordinaire

de

chez Grasset

Paru le | Broché sous jaquette 310 pages

20.00 Indisponible

traduit de l'anglais (Australie) par Brice Matthieussent


Les libraires en parlent

Mme Cécile Juignet (Librairie Atout-Livre)

Une bourgade perdue du sud-ouest de l'Australie, des saisonniers travaillant les vignes, et un homme : Smithy. Contraint à la sobriété, il se contente de voir ses compagnons de labeur se noyer dans l'alcool, ruminer leur désespoir et leurs désillusions.

Lorsqu'une jeune femme vient lui demander asile, pour se cacher d'un mari violent sortant de prison, une intimité inattendue se crée, et Smithy réalise que de ces terres arides et désolées, de ce quotidien rude et éprouvant, peut naître une certaine liberté pour quiconque le souhaite un tant soit peu... Tout est dit : Jeremy Chambers nous parle d'humanité.

Un premier roman poignant et simplement magnifique.

Quatrième de couverture

Une bourgade perdue de la région de Victoria, au sud-est de l'Australie, cernée de vignobles où triment, jour après jour, quelques saisonniers brisés par une vie sans horizon. Le soir venu, ces hommes rugueux, pleins de désespoir et de violence rentrée, se saoulent jusqu'à l'oubli. Smithy fut l'un d'eux, jadis. Ancien tondeur de moutons et buveur invétéré, aujourd'hui contraint par son médecin à l'abstinence, il observe ses compagnons de labeur se détruire à petit feu, avec une apparente indifférence. Mais dans le secret de la nuit, ce vieil homme de peu de mots est visité par les démons du regret, hanté par les réminiscences d'un amour perdu. Lorsque la jeune et ingénue Charlotte, apeurée par l'imminente sortie de prison de son mari, vient trouver refuge chez lui, il entrevoit soudain, au fil des confessions que s'échangent timidement ces deux êtres si dissemblables, la possibilité d'une rédemption.

Jeremy Chambers, révélation de la nouvelle scène littéraire australienne, signe avec Le Grand Ordinaire un premier roman somptueux, porté par une écriture brute et incandescente, au confluent des fleuves Beckett et Faulkner.