Snoopy & les Peanuts. Vol. 11. 1971-1972

Fiche technique

Format : Relié sous jaquette
Nb de pages : 325 pages
Poids : 908 g
Dimensions : 24cm X 17cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-205-06658-6
EAN : 9782205066586

1971-1972

de

chez Dargaud

Serie : Snoopy & les Peanuts. Vol 11

Paru le | Relié sous jaquette 325 pages

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traduit de l'américain par Fanny Soubiran | introduction de Kristin Chenoweth


Quatrième de couverture

Kristin Chenoweth au sujet du personnage de Sally, extrait de l'introduction de ce volume :

Lisiez-vous Snoopy et les Peanuts quand vous étiez jeune et ressentiez-vous déjà un lien privilégié avec Sally ?

J'ai eu de la chance de jouer Sally parce que c'est mon personnage préféré. Moi aussi, j'étais la petite dernière donc je peux m'identifier à son statut de cadette. Et d'après moi, c'est aussi le personnage le plus drôle de toute la bande avec son sens de l'humour très adulte qui contraste de façon comique avec son corps d'enfant.

Tout le monde s'est accordé pour dire que votre interprétation de Sally avait volé la vedette dans cette version de la pièce.

Salle n'aurait pas pu percer si les autres personnages n'avaient pas été aussi épais eux-mêmes. Sa relation avec Snoopy est particulièrement importante. Et nous le devons entièrement à Charles Schulz. J'aimais beaucoup la perruque de Sally conçue par Paul Huntley, avec toutes ces boucles folles qui s'agitent avec elle !

Bien qu'ils aient démarré comme bébés dans les tous premiers strips, des personnages comme Schroeder, Lucy et Linus ont vite « grandi » au point de se rapprocher implicitement en âge des personnages aînés (Linus ne lait pas plus jeune que Charlie Brown, par exemple) ; Sally, elle, est unique - du moins jusqu'à l'arrivée de Rerun - dans le sens où, elle reste plus jeune (à la fois par sa taille et par sa personnalité) que les autres. Comment cela a-t-il affecté votre interprétation de Sally ?

Comme j'étais moi aussi la petite dernière et que je suis en général beaucoup plus petite que tout le monde, je savais exactement ce qu'elle ressentait. À essayer de suivre les grands, en vain, et à en éprouver une certaine frustration. C'est ce qui rend son rôle si amusant à jouer. C'est drôle que la personne dont elle se sent le plus proche soit le chien.

Du même auteur : Charles Monroe Schulz