La maison des épreuves

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 129 pages
Poids : 174 g
Dimensions : 14cm X 19cm
Date de parution :
ISBN : 979-10-93606-53-8
EAN : 9791093606538

La maison des épreuves

de

chez Ogre

Paru le | Broché 129 pages

19.00 Indisponible

traduit de l'anglais (Canada) par Claro


Les libraires en parlent

Philippe Guazzo (LE COMPTOIR DES MOTS)

Voici un bien étrange livre qui échappe à toute catégorie et nous sort de notre zone de confort de lecteur !

Adresse à l'unique amie d'enfance qui vient de suicider, hommage à l'âme soeur et espoir de rachat d'une culpabilité floue, tentative de fuite hors de l'inquiétante  banalité du quotidien, exploration d'un univers des possibles, de fantasmes terribles et d'un imaginaire déviant ... Tout cela et plus encore, selon la lecture de chacun.

On devine des lignes de force comme autant de chemins souterrains qui irriguent les différentes strates de ce texte qui fonctionnent chacune et entre elles comme un génerateur d'histoires à mi-chemin du jeu de rôle et du cauchemar entêtant.
On referme ce livre comme on ouvre les yeux au sortir du sommeil agité : un peu étourdi et troublé, avec la certitude d'avoir lu un un livre étrange et poignant, aussi inventif que déstabilisant !

Quatrième de couverture

La Maison des Épreuves

« Le test commençait avec les deux amoureux assis face à face, par terre, chacun armé d'un couteau et chacun relié par intraveineuse à une réserve illimitée de sang d'un groupe sanguin spécifique. À un signal, chacun devait trancher la carotide de l'autre. L'idée du test consistait à se regarder dans les yeux le plus longtemps possible. La réserve de sang devait leur permettre en théorie de perdre leur sang indéfiniment, mais à l'instant où l'un d'eux cessait de regarder l'autre, la transfusion s'arrêtait et les deux sujets mouraient. Je précisais que par la suite un obélisque en pierre rouge devrait être dressé à l'endroit où avait eu lieu l'épreuve. [...] Je prévoyais un monde jonché de ces étranges monuments rouges, offerts à l'admiration des êtres solitaires qui ignoraient l'amour, et comme autant d'insultes aux parents endeuillés. »

Du même auteur : Jason Hrivnak