Abus bancaires, comment faire face

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 237 pages
Poids : 350 g
Dimensions : 15cm X 23cm
Date de parution :
EAN : 9782844782564

Abus bancaires, comment faire face

de

chez Cheminements

Collection(s) : Ma part de vérité

Paru le | Broché 237 pages

Tout public

20.00 Indisponible

Quatrième de couverture

«Autrefois, on réussissait grâce à son banquier. Aujourd'hui, on réussit malgré lui et bien souvent contre lui...»

Le métier de banquier a profondément changé depuis près de vingt ans. L'apparition de l'informatique, les évolutions législatives et réglementaires, la déréglementation, la disparition de l'éthique sont à l'origine des changements.

Tout au long de cet ouvrage, vous constaterez les drames humains que provoque la mise en oeuvre, sans état d'âme et sans morale, d'une législation perverse. Vous comprendrez qu'un banquier n'est jamais votre ami... il est un danger permanent pour son client.

Le système bancaire fonctionne à l'inverse des règles économiques générales. Les gains de productivité ne profitent pas au client. Les opérations sont facturées entre 458 euros et 1 956 euros de l'heure. L'État est totalement démissionnaire.

Face aux abus avérés ou supposés, le réflexe naturel est de se tourner vers le judiciaire. La réponse du monde judiciaire est très majoritairement catastrophique. Une justice sourde, muette et aveugle assure la protection judiciaire du banquier.

Le système bancaire est un géant aux pieds d'argile qui tire sa force de l'apathie des clients et de leur manque d'organisation.

Croyez-moi, nos banquiers sont forts de notre faiblesse individuelle, de notre démission permanente. La peur peut et doit changer de camp. Vous trouverez dans cet ouvrage, les recettes pour atteindre cet objectif.

Biographie

Diplômé du CAPA (Certificat d'Aptitude à la Profession d'Avocat) en 1971, Alain Bousquet crée son propre cabinet dès 1973 à Albi, à l'âge de 26 ans. Avocat généraliste, il a toujours consacré une partie de son activité à restructurer financièrement des particuliers et des entreprises tout en étant avocat de banque, de société de crédit et de compagnie d'assurance. En 1993, il décide de ne plus conserver cette clientèle et se consacre depuis lors exclusivement aux entreprises et aux particuliers. En effet, il avait constaté en 1987 lors de son installation à Antibes, une évolution qu'il jugeait néfaste. Peu à peu, il l'a trouvée insupportable.

C'est donc logiquement, qu'en 1994, il créé avec des chefs d'entreprises, le Comité d'Action contre les Abus Bancaires qui est désormais ouvert aux particuliers.