Alfred Jarry et sa bande, Le cycliste de Montmartre

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 120 pages
Poids : 238 g
Dimensions : 13cm X 18cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-9527705-1-4
EAN : 9782952770514

Alfred Jarry et sa bande, Le cycliste de Montmartre

de

chez les Ed. de la Belle Gabrielle

Collection(s) : La légende de Montmartre racontée par...

Paru le | Broché 120 pages

Tout public

13.00 Indisponible

illustrations Jack Russell


Quatrième de couverture

Le cycliste de Montmartre

Montmartrois par ses amis, Picasso, Apollinaire, Max Jacob, et par son goût du canular, « poète breton et pêcheur à la ligne professionnel », cycliste monomaniaque, il a été dévoré par sa créature, le Père Ubu, joué au pied de la Butte. Mais son oeuvre est beaucoup plus complexe et reste à redécouvrir. Célébrons le centenaire de sa mort, le 1er novembre 1907.

Jarry et la peinture/gravure sont inséparables : il fallait un complice pour suppléer aux défaillances du texte, à la contradiction de certaines informations. Authentique fils de Montmartre, Jack connaît par coeur la Butte de Jarry ; il a relevé le défi, pour le plaisir, et par fidélité à ses principes. Et il a reconstitué quelques morceaux savoureux d'un puzzle qui ne sera jamais terminé.

« Ceux dont l'existence gêne et parfois dérange les gens " comme il faut " m'ont toujours intéressé.

Après guerre, dans les années cinquante au quartier Latin, un certain Ferdinand Lop se présentait à toutes les élections possibles, tenant ses réunions en plein Boul'Mich, vaillamment soutenu par la faune estudiantine.

Un autre candidat présidentiel du Ve arrondissement était un certain Aguigui Mouna, qui passait ses vacances sur la Côte d'Azur, où il circulait en faisant des acrobaties à vélo parmi les tables des terrasses de café en dispensant sa bonne parole et des graines.

La pataphysique ayant confirmé un rejet définitif de la philosophie telle qu'elle était prêchée, reconnaître mon goût de l'absurde dans le ménage Ubu a achevé ma conversion.

Ceci expliquera peut-être le triste état dans lequel je me retrouve dans ces pages. »