Croisez l'Ankou, restez zen : un abécédaire merveilleux, poétique, enluminé, fantaisiste, avec une pincée de celte

Fiche technique

Format : Broché
Poids : 400 g
Dimensions : 21cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35370-082-0
EAN : 9782353700820

Croisez l'Ankou, restez zen

un abécédaire merveilleux, poétique, enluminé, fantaisiste, avec une pincée de celte

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chez Opéra

Paru le | Broché

20.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Lorsque Gigi Le Merdy rencontre les deux Henri, les pinceaux trempent dans la rime, la lettre vire au texte et joue la poésie, l'Ankou y perd son... breton, et flirte avec l'arabesque, tandis que l'entrelacs retrouve des accents médiévaux.

De A à Z, vingt-six tableaux d'acrylique et leur vignette de poésie, où le savoir fantaisiste joue avec les contraintes et l'imaginaire.

Du texte ou de la peinture, qui commença le jeu ?

Biographie

Gigi Le Merdy
Avec ses yeux couleurs d'abysses, elle sait voir le secret des teintes et montrer la magie des formes qu'elle travaille en pleine campagne, auprès d'un étang de légende, et avec l'aide d'un maître vénérable qui la guide dans son voyage au pays de la peinture. Chez elle, le réel est forcément magique et la magie nécessairement quotidienne.

Henri Copin
Né dans le plus proche des siècles précédents, il se nourrit surtout d'amitié, de poésie et des vents atlantiques de Nantes et autres lieux Ligériens, mais n'exclut tout de même pas quelques nourritures plus terrestres, qui corsent son ordinaire. Il croisa un jour le chemin d'un autre Henri, et de Gigi, la peintre des figures arrondies et des couleurs transparentes. Avec eux, il inventa le BA-ba de l'alphabet, et l'abécédaire qui dit (presque) la totalité du monde.

Henri Philibert
Au moment où Lorient s'affaisse sous les bombes, le deuxième Henri voit le jour dans le Finistère. Un mois après cet événement, les Allemands capitulent sans qu'on puisse conclure à une relation de cause à effet.
A Lorient, Henri Philibert partage son temps entre l'écriture, les buts des terrains de football et le port de Keroman où il prélève une partie des réserves d'éperlans de l'Atlantique.
Mais il se résigne à quitter sa région natale, pour mettre le cap sur Nantes, où il devient formateur de l'Ecole Normale. Un déracinement qui lui permet de joindre sa plume à celle d'Henri Copin et, plus récemment, de découvrir Gigi Le Merdy dont les oeuvres ravivent son attachement au berceau breton.