Quatrième de
couverture
L'expérience de l'exil forcé a toujours placé l'écrivain à la frontière des langues. Certains ont choisi de s'exprimer dans la langue du pays d'accueil. D'autres, malgré des années d'exil, sont restés fidéles à leur langue. On peut se demander pourquoi l'écrivain continue d'être hanté par sa langue.