traduit du portugais par Jacques Fressard
Quatrième de
couverture
Portela, qui avait trouvé un banc à l'entrée de la salle, s'est assis sans dire mot. Il a ôté son béret mais il est resté le mouchoir collé sur la tête, comme une coiffe. Puis il a étendu ses jambes sur le plancher, laissé pendre ses bras et, satisfait, dépoitraillé, il jouit de ce repos dans la fraîcheur de la maison, avec devant lui un couffin de figues sèches...