traduit de l'italien par Jean-Baptiste Para
Quatrième de
couverture
On discerne chez l'auteur une altière hostilité à l'égard des poétiques consolatrices. Impitoyablement, le sens du poème reste suspendu. Si le poète puise dans l'ordinaire des jours, ce n'est que pour pointer ce qui noue les fils d'un destin.