La traque de Jacques Mesrine, l'ennemi public numéro 1 : un flic de l'antigang témoigne...

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 208 pages
Poids : 320 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-915960-45-7
EAN : 9782915960457

La traque de Jacques Mesrine, l'ennemi public numéro 1

un flic de l'antigang témoigne...

de

chez Esprit du livre éditions

Collection(s) : Histoire & mémoires combattantes

Paru le | Broché 208 pages

Tout public

19.00 Indisponible

préface Charles Pellegrini


Quatrième de couverture

La traque de Jacques Mesrine

L'ennemi public n° 1

Un ancien officier de police de l'antigang, ayant participé à la traque de Jacques Mesrine, révèle en exclusivité les dessous de l'enquête qui a permis de mettre un terme à la cavale meurtrière de l'ennemi public n° 1.

Pendant dix-huit mois, l'enfant perdu de la guerre d'Algérie, le rebelle des quartiers de haute sécurité, le roi de la cavale, braqueur, kidnappeur et assassin, a défié les institutions et les pouvoirs publics.

L'homme aux mille visages, véritable caméléon, s'est mis en scène. Par le biais des médias, il est devenu l'acteur d'un scénario qu'il avait lui-même imaginé avec l'espoir de devenir un mythe.

Jacques Nain, ancien officier de police, a participé, avec l'unité anti-Mesrine, à la traque fatale de l'ennemi public n° 1. Il nous entraîne dans une chasse à l'homme haletante et dévoile la personnalité complexe du criminel, au-delà de la légende.

Le témoignage sans concession de cet ancien flic de l'antigang nous conduit de la date de l'évasion de Mesrine de La Santé, le 8 mai 1978, à la fusillade du 2 novembre 1979, porte de Clignancourt, à Paris, où l'ennemi public n° 1 a trouvé la mort.

Le légendaire Mesrine a-t-il été assassiné ?

Biographie

Aujourd'hui commandant de police honoraire, Jacques Nain a été, de 1974 à 1994, officier à la Direction centrale de la police judiciaire, avant de terminer sa carrière dans le renseignement. Il publie ici un ouvrage sur l'une des enquêtes de sa décennie passée au sein de l'Office central pour la répression du banditisme, c'est-à-dire à la brigade antigang.