une fantaisie pleine de chiens, de bruits et de fureurs
Quatrième de
couverture
Huit heures le matin, dans un parc de Montréal. Des maîtres promènent leur chien. Si les chiens ne bavardent pas à l'instar des humains, ils provoquent un flot de paroles ininterrompues. Et ils réfléchissent, à leur manière, pendant que l'autre, au bout de la laisse, parle et parle, donnant souvent de l'existence une représentation d'une splendide vacuité.