traduit de l'allemand par Marion Graf
Quatrième de
couverture
Tandis que le peintre Moritz Wank perd pied en ce mois d'août, qu'il ne peint plus, et que Judith reste sa seule certitude, le roman, sur fond d'humour caustique, oscille entre deux points de vue : l'exécration, la nausée d'un monde vulgaire et une précautionneuse initiation à la tendresse.