Le goût des souvenirs : quand nos grands-mères étaient enfants

Fiche technique

Format : Relié sous jaquette
Nb de pages : 142 pages
Poids : 690 g
Dimensions : 19cm X 22cm
Date de parution :
EAN : 9782700603125

Le goût des souvenirs

quand nos grands-mères étaient enfants

de

chez Aubanel

Paru le | Relié sous jaquette 142 pages

Tout public

22.30 Indisponible

Danielle Aubry, Sophie de Harme, Françoise Rifflet, Colette Vasseur


Quatrième de couverture

Quel enfant n'a été fasciné en écoutant, perché sur les genoux de ses grands-parents, les anecdotes de leur jeunesse ? Ces souvenirs constituent un patrimoine éphémère lorsqu'ils sont transmis par la voix, mais cet ouvrage, écrit en commun par cinq grands-mères, permet de les faire revivre et de les conserver.

Empruntant le fil directeur de l'alphabet, ces cinq femmes égrènent leurs habitudes passées, leurs secrets, les accidents de l'Histoire qui les ont bouleversées, les principes d'éducation ou les rites religieux qui les ont marquées. Ce livre se lit comme on ouvre avec curiosité et émerveillement une boîte pleine de photographies anciennes. Il brosse le tableau d'une époque qui, sans le témoignage de nos aînés, glisserait doucement dans l'oubli.

Biographie

ù Marie-Hélène Théron, 75 ans, était l'aînée de trois enfants. Son père était ingénieur, et sa mère, agrégée de mathématiques, directrice d'un grand lycée parisien. Elle-même mère de trois fils, elle a la joie d'avoir quatre petits-enfants. Après avoir fait médecine, elle s'est orientée vers la psychiatrie et la psychanalyse. Cette possibilité de saisir l'autre et de le rejoindre, elle l'a aussi développée en écrivant et en jouant des pièces de théâtre. «Pour moi, l'écriture de ce recueil de souvenirs restera un moment merveilleux d'amitié féconde.» C'est elle qui a animé le groupe de discussion dont ce livre est issu.

ù Benjamine d'une famille de onze enfants, Danielle Aubry est née en 1948. Ses parents, différents par leurs origines, mais complémentaires, avaient en commun l'éducation, les bonnes manières, l'instruction, le respect et tout un ensemble de principes pour élever leurs enfants. Durant de nombreuses années, elle a exercé la profession de conseillère pédagogique. Aujourd'hui, elle s'épanouit pleinement dans le milieu associatif.

ù Jeune retraitée de bientôt 61 ans, Sophie de Harme est née en 1941 dans une ville occupée et bombardée : Saint-Nazaire. «J'ai grandi dans cette ville, plutôt bien. Et, j'ai décroché un job dans une société de production de films à Paris. J'ai rencontré mon futur mari, le père de nos deux filles. Hélas, la plus jeune nous a quittés trop tôt. Mais la vie continue... Et les souvenirs en sont la trace.»

ù Françoise Rifflet est une mamie attentive pour ses petits-enfants, dont elle occupe les vacances avec un grand souci pédagogique. «J'ai 67 ans. Parisienne de naissance, Normande d'adoption. Aînée de trois filles, d'un milieu bourgeois, mes parents exerçaient une profession libérale. J'ai trois enfants, et quatre petits-enfants.»

ù Colette Vasseur, 64 ans, est née à Gonne-ville-sur-Mer, d'une mère normande et d'un père corrézien, elle a deux fils et deux petits-fils. Elle a grandi dans un petit village de l'Eure, choyée par des parents adorables et tendres. Sa mère, qui a aujourd'hui 90 ans, l'a aidée dans la recherche des souvenirs consignés dans ce livre. C'est sûrement d'elle, cuisinière réputée dans son petit restaurant, que Colette tient ses talents culinaires.