traduction et appareil critique de Jean Demerliac
Quatrième de
couverture
Le paradis des célibataires et Le tartare des jeunes filles forment un diptyque, écrit en 1853, dans lequel Melville approfondit l'énigme du copiste et lui donne un éclairage nouveau et inattendu. Alors que dans La table en pommier, il moque autant la mode des spirites que le scientisme abscons.