Collection(s) : Bibliothèque maçonnique
Paru le 29/11/2006 | Broché 158 pages
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Une célèbre statue (voir couverture) montre le roi Léopold Ier de Belgique arborant le cordon d'un très haut grade de la franc-maçonnerie. Les initiales CKS signifient «Chevalier Kadosch», soit le 30e degré du Rite Écossais Ancien et Accepté de la franc-maçonnerie, qui en compte 33.
Qui a fait le prince Léopold franc-maçon ?
Où fut-il «initié» et dans quelles formes ?
Comment, en 1813, ce prince allemand, général dans la cavalerie russe, devint-il «membre» d'une loge du Grand Orient de France, pays qu'il combattait avec hargne et mépris, sabre à la main.
Sur quel témoignage repose son appartenance à une loge anglaise ?
Pourquoi le roi Léopold contacte-il les francs-maçons belges, dès son avènement en 1831 ?
Quelles loges a-t-il fréquentées en Suisse, en Angleterre, en Allemagne et en Belgique ?
Comment, quand, par qui et où fut-il reçu Chevalier Kadosch ?
De quelle nature furent ses relations avec le jeune Grand Orient de Belgique ?
Pourquoi le roi y mit-il une fin brutale de sa seule initiative ?
Pourquoi peut-on parler de «mythe» à propos de l'appartenance du roi à l'Ordre maçonnique ?
Jean van Win est spécialisé dans le XVIIIe siècle et les sociétés de pensée, avec une prédilection pour les rituels maçonniques et la musicologie. Il a publié Mais qui a tué Mozart ? (Eder) et, La Renaissance du Rite français traditionnel (Télètes).