traduit de l'allemand par Brigitte Vergne-Cain et Gérard Rudent
Quatrième de
couverture
Dans ce qui était pour peu de temps encore la RDA, un ouvrier qualifié perd tour à tour, le même jour, son travail, l'usage normal du langage et la perception habituelle de la réalité. Wofgang Hilbig, aussi authentiquement prolétaire que poète, construit un langage dont la violence et l'artifice évoquent Kafka ou Arthaud.