Marseille, trames et paysages urbains de Gyptis au roi René : actes du colloque international d'archéologie, Marseille, 3-5 nov. 1999

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 459 pages
Poids : 1694 g
Dimensions : 23cm X 28cm
Date de parution :
EAN : 9782744902505

Marseille, trames et paysages urbains de Gyptis au roi René

actes du colloque international d'archéologie, Marseille, 3-5 nov. 1999

chez Edisud

Collection(s) : Travaux du Centre Camille Jullian

Paru le | Broché 459 pages

Public motivé

56.40 Indisponible

Quatrième de couverture

Un «portrait de ville» : c'est ce que ce livre veut offrir à l'occasion du vingt-sixième centenaire de la naissance de Marseille. En choisissant le parcours historique le plus long possible, «de Gyptis au roi René». Donc, des origines même de Massalia au début des temps modernes à partir desquels, comme les autres villes, Marseille change décidément d'échelle. Ce qui requérait la collaboration de tous les acteurs de l'archéologie marseillaise : la Direction Régionale des Affaires Culturelles (Service régional de l'archéologie), l'Atelier du patrimoine de la Ville de Marseille, deux Laboratoires de l'Université de Provence et du CNRS (le Centre Camille-Jullian et le Laboratoire d'Archéologie médiévale méditerranéenne) et l'Association pour les Fouilles Archéologiques Nationales. Ensemble, ils ont organisé en 1999 un Colloque auquel ont également participé des spécialistes, français et étrangers, de l'histoire urbaine.

L'ouvrage réunit les sept grands dossiers de ce Colloque : de la topographie aux métiers en passant par les fortifications, la trame urbaine, le port, les monuments publics, les faubourgs et leurs nécropoles. Au fil des pages, par touches successives, c'est véritablement le «profil de la cité» qui se dessine. Un profil dans lequel les permanences l'emportent de beaucoup sur les ruptures, en dépit des corsi e ricorsi de l'histoire urbaine.

Tel est l'acquis majeur de la collaboration entre historiens et archéologues de l'Antiquité et du Moyen Age qui constitue, pour Marseille, une grande «première». Il permet de retrouver jusque dans la ville d'aujourd'hui (en tout cas celle du XIXe siècle) les lignes de force d'une trame antique que l'on croyait abolie.