traduit de l'arabe par Sami-Ali
Quatrième de
couverture
Les poèmes du soufi Hallaj (827-922) échappent à la mesure parce qu'ils témoignent d'une vérité incommensurable. Aucun être ne peut subsister en même temps que l'Etre. Poser l'Absolu, fût-ce par l'acte de foi, revient à le relativiser, donc à le nier. Chaque poème est un fragment du tout et le tout lui-même est cet instant unique où se révèle l'Unique.