l'aubépine
traduit de l'américain par Barnard Hoepffner | avec la collaboration de Catherine Goffaux
Quatrième de
couverture
Sur le thème éternel de la princesse endormie, la Belle au Bois dormant, l'auteur brode des variations langagières, selon un principe qu'il a déjà utilisé où tout manquement au rituel (ou à la rhapsodie) appelle une punition répétée, où le désir est un champ d'aubépines, où les caresses de l'élue impliquent toiles d'araignées et ossements.