Quatrième de
couverture
Les poèmes de «Tout repose» cheminent dans l'univers de la maladie et de la mort, celle de la mère du poète. Janvier, février, mars : trois mois, trois moments qui chacun verse sa part de vérité et d'irréel tout aussi bien dans les mots qui chevauchent ces poèmes où la douleur laisse place à l'acceptation, à la patience. Résolution du cri, du désarroi : l'ombre est chassée, une clarté se hasarde ; tout peut reposer.