traduction, Sylvie Nicolas
Quatrième de
couverture
Dans la famille Hervé, on naît géant ou nain, avec une fâcheuse propension à l'errance. À partir de cette tare génétique, Deni Ellis Béchard (Dans l'Oeil du soleil) a construit une fresque familiale au parfum de légende, nous transportant de la Gaspésie aux États-Unis à la rencontre de descendants plus grands que nature. Vandal Love plonge dans les entrailles de l'Amérique pour en extraire une courtepointe de destins marqués par la violence, un florilège d'amoureux incandescents et d'inconsolables immigrants à la recherche d'un sens à leurs pérégrinations. Comme le souligne Béchard dans sa préface inédite rédigée à l'occasion du dixième anniversaire de cette formidable entrée en littérature, « celui qui est perdu se déplace rarement en ligne droite. Son histoire se répète, et se mue soudainement en histoires nouvelles ».