Brève histoire des hommes : critique historique

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 201 pages
Poids : 236 g
Dimensions : 14cm X 19cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-916185-07-1
EAN : 9782916185071

Brève histoire des hommes

critique historique

de

chez Ed. Ex nihilo

Paru le | Broché 201 pages

Public motivé

15.00 Indisponible

avant-propos Olivier Messac


Quatrième de couverture

Brève histoire des hommes

Brève histoire des hommes est une étude matérialiste sur les faits de peuplement et de culture, ou plus précisément, selon l'auteur (Nouvel Âge, 1937), sur « les faits essentiels de l'histoire humaine, faits qui dominent tous les autres, et qu'on ne devrait jamais perdre de vue. C'est d'eux que dépendent même les faits de civilisation et de conscience, les phénomènes dits spirituels ou intellectuels, les moeurs, les idées, le comportement des foules et des individus. »

La pensée très originale de Messac est présente tout au long de ce livre émaillé de remarques et de réflexions destinées à dégager l'horizon du lecteur.

Il est regrettable que ce texte n'ait pas été réédité plus tôt, bien que, pour paraphraser André Breton, le public d'aujourd'hui soit incomparablement mieux préparé que celui d'hier à le recevoir.

Oeuvre de savant, de penseur et d'artiste, Brève histoire des hommes, en même temps qu'elle nous éclaire sur le passé, nous fait entrevoir ce que l'avenir pourrait être.
Gérard de Lacaze-Duthiers, la Patrie humaine, 1939.

Biographie

Régis Messac (1893-1945) : Penseur, essayiste et romancier français. Agrégé de grammaire, docteur ès lettres, premier exégète de la littérature policière, historien de la littérature populaire et d'imagination scientifique, Messac s'est intéressé à toutes les branches de la sociologie du XXe siècle. Il a produit, de 1919 à 1943, une oeuvre littéraire et journalistique abondante et protéiforme. « La ligne directrice qui unit la vie de Régis Messac à son oeuvre, écrit Didier Reboussin (Outre Monde), est celle de la mise au pilori de la bêtise humaine. Messac ne prend même pas la peine de la dénoncer : il la met en scène, en lumière, et son ironie mordante se charge de l'exécution. »