Quatrième de
couverture
Une réflexion sur le rapport entre le virtuel et la banalité : ne pouvant y échapper, le virtuel se réfugie dans la banalité qu'il s'agit alors de narrer pour lui conférer d'ultimes charmes selon un jeu de sens désespéré et voué à l'échec. Il ne faut ni y souscrire, ni la critiquer, ni en faire l'éloge ; l'exposer seulement comme pour y mettre fin, la charmer pour la faire disparaître.